En France plus d’une femme sur 7 est victime de violences conjugales. Celles-ci ne sont pas seulement physiques. Elles sont aussi psychologiques (critiques plus ou moins systématiques, contrôle de tous vos actes, interdictions diverses et humiliations en privé ou en public).
Au début, il n’y a pas nécessairement volonté de faire du mal de la part du compagnon, mais la frontière entre le simple mot et celui qui va trop loin est très fine. C’est la façon dont les mots sont dits, sont enfoncés qui va faire basculer les choses. Il y a aussi les attitudes, les silences.
La violence psychologique ne s’installe pas comme ça brutalement. C’est comme une toile d’araignée. La personne est dans un mouvement, dans un rôle dont on ne peut plus se sortir. Les deux sont dans une spirale de violence.
Ne vous dites pas que vous la seule et surtout pas que vous êtes seule. Subir les violences de son conjoint n’est pas une situation normale ou une fatalité. C’est tout simplement inacceptable.
Ne restez pas dans le silence et la peur. Pouvoir parler, pouvoir agir : c’est déjà s’en sortir.
Des [post=’8′ text=’professionnels’] peuvent vous aider à prendre une décision.
Psychologique, verbale ou physique, la violence isole. Ne la laissez pas s’installer ( le site stop-violences-femmes-gouv.fr vous donne beaucoup d’informations)
vous pouvez appeler le 39 19 (n° gratuit)
En France plus d’une femme sur 7 est victime de violences conjugales. Celles-ci ne sont pas seulement physiques. Elles sont aussi psychologiques (critiques plus ou moins systématiques, contrôle de tous vos actes, interdictions diverses et humiliations en privé ou en public).
Au début, il n’y a pas nécessairement volonté de faire du mal de la part du compagnon, mais la frontière entre le simple mot et celui qui va trop loin est très fine. C’est la façon dont les mots sont dits, sont enfoncés qui va faire basculer les choses. Il y a aussi les attitudes, les silences.