Sommaire
- Cité Amitié 1977-1983 : Madjid MADOUCHE
- La cité Amitié en 1977
- les nationalités présentes à la cité Amitié
- l’AATEM
- Prise de fonctions à Amitié
- Action - participation
- Actions sportives et culturelles
- Théâtre, ciné club et interférences politiques
- Actions pour les enfants… avec les parents
- Relations avec le quartier de Saint-Ferjeux
- Avec les écoles, les contes et l’éveil à la langue de l’autre
- Le Foyer
- Projet de création d’un centre d’échanges interculturels avec l’ARETE
- Toutes les Pages
Plusieurs nationalités composaient cette population, par ordre de grandeur : portugaise, marocaine, algérienne, turque, yougoslave, tunisienne, espagnole, italienne.
J'ai travaillé sur la cité Amitié de 1977 à 1983, engagé comme directeur adjoint, chargé de la gestion et de l’animation. Au bout d'une année d’exercice, j'ai souhaité abandonner la gestion au bénéfice de l'animation qui correspondait plus à ma nature.
J'ai privilégié l'animation en direction des jeunes tout en inscrivant les adultes et parents dans la construction et la réalisation des nombreux projets.
Qui dit animation dans la cité de transit Amitié, dit intervention dans la plupart des domaines de l'action socioculturelle. Lorsque se posait un problème familial qu'il s'agisse de relation parents-enfants, de scolarité, de divertissement culturel, sportif ou autre, les familles ou institutions s'adressaient à moi. J’étais un peu, le grand frère pour les jeunes, l'empêcheur de tourner en rond pour les parents ; il faut dire que je n’étais pas toujours d’accord avec certaines attitudes qu’ils avaient avec leurs enfants.
- Précédent
- Suivant >>